mardi 5 avril 2011

Résumé Parachat Metsora

La section de Metsora traite du rituel de purification que devait suivre la personne touchée par la lèpre, affection surnaturelle de la peau qui touchait celui qui s’était rendu coupable de médisance ou de colportage (« Lachone Ara »).

Lorsque le lépreux était guéri, il devait suivre une certaine procédure de purification par le Cohen dans le Temple. Le rituel mettait en jeu deux oiseaux, de l’eau vive et un récipient en argile, du bois de cèdre, un fil écarlate et un brin d’hysope. Les oiseaux symbolisent par leur piaillement la tentation du verbe. Le cèdre, arbre noble, fait référence à l’orgueil qui peut amener à parler sur autrui. L’hysope, simple végétal, a pour finalité d’apprend à celui qui passe ce rituel l’humilité nécessaire pour ne pas refaire la même erreur.

La fin de la sidra Metsora établit les lois relatives à d’autre sources d’impureté rituelle : par une perte de matière séminale pour un homme, ou par le cycle menstruel pour une femme. Pour s’en extraire, la personne doit, au bout d’une certaine période, s’immerger dans un Mikveh, c’est-à-dire un bassin ou une source d’eau naturelle.

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