Il est un adage hassidique selon lequel "à l'image de notre manière de nous tenir pendant le chabbat Béréchit, ainsi nous serons durant toute l'année". Pour ainsi dire, ce proverbe nous annonce que nous devons vivre pleinement le premier chabbat qui suit la fête de Souccot et Chémini Atséret et que de cette manière, nous avons la garantie de vivre une bonne année.
Ceci étant, ce proverbe est étonnant. Comment comprendre que nous puissions jouer le destin de toute une année sur un chabbat ? La Thora ne nous assure-t-elle pas qu'il n'y a pas de destin prédéterminé ?
En fait, il fait comprendre ce proverbe de la manière suivante. Le chabbat Béréchit joue un rôle de charnière. C'est le dernier chabbat du mois de Tichri, qui a été rempli de fêtes, depuis les jours solennels de Roch Hachana et Yom Kippour, jusqu'aux joies de Souccot, Chemini Atséret et Sim'ha Thora. Mais il est aussi lié avec les mois à venir de l'année "normale", car nous y annonçons et bénissons le mois de Mar'héchvane, mois où il n'y a aucune fête, et durant lequel nous retournons à la vie quotidienne.
Or, le judaïsme sait pertinemment que l'âme juive brille naturellement durant les jours de fêtes et particulièrement durant les fêtes de Tichri. La question qui se pose est de savoir si nous savons maintenir cette flamme alors que nous retournons à notre vie quotidienne et à ses soucis de tous les jours. Et c'est là que le Chabbat Béréchit joue tout son rôle. Nous avons encore en nous l'élan et la force du mois de Tichri, et nous bénissons le mois de 'Hechvane qui arrive.
Cet adage hassidique nous enjoint donc à vivre pleinement ce chabbat en se projetant aussi dans l'année à venir. Ainsi, nous pourrons emporter avec nous pour toutes l'année les forces que nous avons emmagasinées pendant ce mois de fêtes.
Ceci étant, ce proverbe est étonnant. Comment comprendre que nous puissions jouer le destin de toute une année sur un chabbat ? La Thora ne nous assure-t-elle pas qu'il n'y a pas de destin prédéterminé ?
En fait, il fait comprendre ce proverbe de la manière suivante. Le chabbat Béréchit joue un rôle de charnière. C'est le dernier chabbat du mois de Tichri, qui a été rempli de fêtes, depuis les jours solennels de Roch Hachana et Yom Kippour, jusqu'aux joies de Souccot, Chemini Atséret et Sim'ha Thora. Mais il est aussi lié avec les mois à venir de l'année "normale", car nous y annonçons et bénissons le mois de Mar'héchvane, mois où il n'y a aucune fête, et durant lequel nous retournons à la vie quotidienne.
Or, le judaïsme sait pertinemment que l'âme juive brille naturellement durant les jours de fêtes et particulièrement durant les fêtes de Tichri. La question qui se pose est de savoir si nous savons maintenir cette flamme alors que nous retournons à notre vie quotidienne et à ses soucis de tous les jours. Et c'est là que le Chabbat Béréchit joue tout son rôle. Nous avons encore en nous l'élan et la force du mois de Tichri, et nous bénissons le mois de 'Hechvane qui arrive.
Cet adage hassidique nous enjoint donc à vivre pleinement ce chabbat en se projetant aussi dans l'année à venir. Ainsi, nous pourrons emporter avec nous pour toutes l'année les forces que nous avons emmagasinées pendant ce mois de fêtes.
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